Back to record of: Denis-Benjamin Viger

Fils de Denis, homme d'affaire et député et Charlotte-Perinne Cherrier

Inhumé au cimetière Notre-Dame-des-Neiges, section J3, numéro 53

Patriote

Cousin de Jacques Viger, de Séraphin Cherrier et Louis-Joseph Papineau

En 1799, après ses études au Collège de Montréal, il est admis au Barreau.

En 1808-10 il est élu député de Montréal-Est à l'Assemblée législative du Bas-Canada.

En 1810-16, il est député de Leinster à l'Assemblée.

En 1816-30, il est député de Kent à l'Assemblée.

En 1828, Viger se rend à Londres protester contre les abus de pouvoir du gouvernement Dalhousie. À son retour, il est appelé au Conseil législatif.

En 1834 il est envoyé une deuxième fois par la Chambre à Londres pour appuyer les plaintes des Patriotes.

En 1835-44, il est président de la Société St-Jean-Baptiste de Montréal.

En 1836, on lui doit la phrase: L'érable c'est le roi de nos forêts, c'est l'emblême du peuple canadien.

Le 4 novembre 1838, suite au soulèvement patriote qu'il soutient financièrement, il est accusé de complicité et est emprisonné pendant 18 mois.

Le 16 mai 1840, il est libéré sans procès, Viger aura subi l'une des plus longues détentions parmi les Patriotes.

En 1841-61, il est député de Richelieu, Bas-Canada.

En 1843-46, il devient Premier Ministre du Canada-Uni en formant un ministère avec William Draper, chef des tories du Haut-Canada. Le manque d'appui des Canadiens-français l'amène à remettre sa démission.

En 1848-58 il redevien membre du Conseil législatif

En 1858 il se retire de la vie politique.

PUBLICATIONS: 1840 Mémoires relatifs à l'emprisonnement de l'honorable D.-B. Viger 1844 La Crise ministérielle

Source: Le Curieux No. 26

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