Bonjour,

J'ai trouvé le mariage des Irlandais Michael O'Neil et Mary Sheridan dans la paroisse Notre Dame de québec le 13 septembre 1831 mais je doute que ceci soit véridique car, selon la tradition orale de la famille, ils seraient décédé sur le navire les trasportant au Canada en 1835. De plus, leurs filles Mary est née en 1825 et Catherine en 1832. Il n'y a pas de trace non plus des témoins de ce mariage soient Andrew Holiard , Margaret Conningham, Constant Beausoleil et Jean Aubé. Je n'ai rien trouvé non plus du cöté des archives en Irlande; les registres de ces années sont disparus. Quelqu'un a-t-il une idée où rechercher autrement ?

Pour un défunt, il semble très en santé à son mariage, il signe!
https://zupimages.net/viewer.php?id=21/44/ozrm.jpg

Vous savez, entre la légende et la réalité il y a parfois tout un monde. Particulièrement avec certaines catégories d'ancêtres. J'ai plusieurs fables détruites particulièrement avec les Irlandais et les écossais dans mon travail.

Les enfants sont tous baptisés à Notre-Dame d'Ottawa entre 1833 et 1840, sans aucune mention d'âge pour les ainés, James et Mary (1833 et 1834), il serait peut-être intéressant de les retrouver dans les recensements? On ne trouve aucun mariage pour eux au LAFRANCE.

J'ai essayé de trouver la famille dans les recensements, pas réussi.

Selon le LAFRANCE, voici la fratrie :
1833-James
1834-Mary
1836-Michael
1837-John
1838-Ann
1840-Ellen

Merci Nataly pour ces détails. J'ai encore beaucoup de doutes à savoir s'il s'agit bien de mes ancêtres avec ce mariage. Mary O'Neil, fille de Michael et Mary Sheridan s'est mariée avec mon arrière grand-père Prudent Joncas à St-Alexis de Grande-Baie le 9 juillet 1850 sans parents vivants. Sur le document de mariage on y mentionne que Mary avait comme tuteur un certain Louis Belay. Je ne crois pas qu'ils aient passé par Ottawa.....car Mary serait venue directement de l'Irlande et adoptée à La Malbaie dans Charlevoix, Prudent Joncas étant arpenteur était venu au Saguenay pour l'ouverture de la région à l'exploitation forestière, où ils se sont connus..

Oh! Pas du tout la même chose. J'oserais dire : Il n'y a pas qu'un chien qui se nomme Fido. Donc, un couple composé d'une Mary, ça laisse place à interprétation.

J'avais exactement un cas de ce genre, la mariée ne se souvenait plus du nom de sa mère lors de son mariage. Aussi adoptée en Charlevoix. 

J'ai un listing de ces jeunes, débarqués à Grosse-Île et adoptés au Québec. Je vais vérifier pour votre O'Neil.

Selon le livre Grosse Ile, porte d'entrée du Canada de Marianna O'Gallagher
Micheal O'Neil et Mary SHEERAN et non Sheridan 
avaient trois filles débarquées le 9 avril 1947 (à Grosse Ile) :
Mary, 18 ans
Catherine, 17 ans
Helen, 16 ans
Originaire de la paroisse de Abbeyleix, comté de Queens.
Elles étaient à bord du navire Wandsworth et auraient été confié à Nairne de La Malbaie. 
On ne précise pas de quel M. Nairne il s'agit. Disons seulement que John Nairne (1731-1802) était un Écossais influent dans Charlevoix, il faudrait voir s'il avait des fils? Je crois qu'il en avait un (avec son épouse Christine Emery). Je ne sais plus, il faudrait lire sur l'histoire de La Malbaie.

Je ne sais pas d'où vous tenez le nom Sheridan, dans l'acte de mariage avec Prudent Joncas, j'ai O'neil comme patronyme pour la mère. J'ai d'ailleurs ce couple dans ma base de données. 

J'ai aussi sa soeur Catherine, mariée à Bernard Bergeron, aussi à Grande-Baie en 1852, la mère est encore nommée O'Neil. A ce point, que le curé les disent de Québec ne surprendra pas. Les deux ont le même tuteur, Louis Belay. La plus jeune des soeurs se marie en 1851 avec Jean Boulianne, à La Malbaie, son tuteur est Georges Tremblay.

Merci Nataly; 

Vous voulez sans doute dire 1847 et non pas 1947...

Ceci ressemble plus à ce que j'ai toujours entendu de la famille. Je vais continuer les recherches.

Effectivement!

Vous avez raison pour le nom de Mary ; C'est bien écrit O'Neil; s'agit-il de l'inscription à Grosse Ile, ayant changé le nom de famille pour celui du mari ?

Je crois que les filles ne le savaient peut-être pas?
Celle que j'avais ici, c'était écrit qu'elle avait oublié le nom de sa mère. Ces gens arrivaient dans des conditions assez traumatisantes. Ils peuvent avoir oublié bien des détails.

Les livres de Marianna O'Gallagher sont vraiment très bien documentés sur le sujet. Vous devriez vous les procurer. Plusieurs boutiques de livres usagés en ont encore.